Caroline nous a présenté son séchoir solaire quelle expérimente depuis plusieurs années . Plus d’explications ici
ATELIER GREFFE EN ECUSSON
Explication c’est ici
ATELIER GREFFAGE au JPT
La pépinière d’arbres fruitiers se porte bien et nous pourrons implanter les scions dans nos jardins dès le mois d’Octobre.2 arbres par adhérent gratuit et 12€ l’arbre supplémentaire .Vous pouvez réserver dès à présent vos arbres ou venir lors de notre prochain atelier greffage sur le jardin
le Samedi 12/09 à partir de 10H Route de la Baronnesse Venerque
Voici la liste
- 1 Nectarine SNOWQUEEN
- 3 Pêchers AMSDEN (blanche et précoce)
- 3 Pêchers VISCOMPTE
- 1 Pêcher de vigne
- 5 Pêchers ROUSSANE DE MONEIN
- 1 Pêcher plate Saturne
- 1 Cerisier Aurignac
- 2 Cerisiers REVERCHON
- 5 Abricotiers
- 3 Pruniers DANTE noire
- 1 mirabelle
- 2 Amandiers à refaire
- 3 Poiriers de la SAINT JEAN
- 1 Poirier Louise Bonne
- 2 pommiers reinette d’Angleterre
- 2 Pommier Akane
- 2 Pommiers Gold Rush
- 1 Reine des reinette
- 6 Pommiers Rémy Z
Très
cordialement,
Le bureau de
JAAL
Juillet 2020
La TOMATE, une immigrée en cours d’intégration laborieuse :
Chaque espèce de plante, est le résultat d’une longue adaptation à un milieu bien particulier. Les conditions qui lui sont propres température, humidité, pluviométrie, ensoleillement, sol, rythmes annuels, etc.) ne peuvent être ignorées lorsque l’on entreprend de les déplacer d’une région du globe à une autre. La tomate a commencé un long périple à partir de la zone subtropicale sèche de l’actuel Mexique vers tous les autres continents où elle fructifie, au sens physiologique comme économique. Six siècles d’acclimatations en tout genre, avec toutes sortes de succès et de déboires ont permis de multiples études et expériences. Pour ne parler que de la température : idéalement entre 25 et 30°C MAIS : – A 7°C, arrêt de croissance, couleur bleue violacée : mauvaise assimilation du phosphore ; – En dessous de 5°C nécroses sur les fruits en formation ; – Températures nocturnes entre 10 et 15 °C crevasses et trous dans les fruits ; – Seule une serre chauffée peut reproduire les bonnes conditions de température. Les températures nocturnes ne remplissent le « contrat » que depuis 2 ou 3 jours en cette année 2020. Nos pauvres tomates sont donc à la peine depuis parfois début avril : 3 mois de souffrance ! Freinez donc votre impatience devant les étals maraîchers en début de saison.
Jacques B.
Gâteau aux framboises d’Annie S.
Ingrédients :
- 1 paquet de 4 sachets de 12 biscuits thé Lu brun;
- 120g de beurre ;
- 80g de sucre en poudre ;
- 500g de mascarpone ;
- 3 sachets de sucre vanillé ;
- 120g de sucre glace ;
- 1sachet de 500g de framboises congelées.
Matériel :
- Un moule à charnière rond de 24 cm ;
- Une spatule ;
- Un marteau ;
- Une casserole.
1er opération fond de tarte :
- Écraser 3 sachets de biscuits sans les sortir des poches avec un marteau d’un côté et de l’autre, très pratique pour éviter de les éparpiller ;
- Faire fondre le beurre, puis le mélanger avec les biscuits et le sucre en poudre ;
- Verser la préparation au fond du moule en l’étalant, puis la tasser ;
- Mettre au frigo pendant une heure.
2ième opération :
- Mélanger le sucre glace, le mascarpone et le sucre vanillé, faire tiédir ;
- Verser le tout et l’étaler sur le fond de tarte
3ième opération :
- Disposer directement sur le gâteau les framboises congelées cote à cote sans laisser d’espaces, normalement il doit rester 1/3 de framboises après l’avoir garni ;
- Remarque : ne pas décongeler les framboises, elles perdraient de leur tenue ;
- Mettre le gâteau au frigo pendant 3 heures avant, pour que les framboises se décongèlent.
4ième opération :
Servir le gâteau en ouvrant le moule, le fond du moule est utilisé pour le transport et pour le découper.
Récit d’un confiné faucheur !
En cette période de confinement liée au coronavirus, je me suis volontairement remis à utiliser la faux, comme aux origines, en somme comme le faisaient autrefois nos ancêtres.
Certes rien ne m’y obligeait, toutefois le silence qui règne actuellement dans les campagnes et dans les villes, invite à respecter ce havre de Paix, alors qu’un ennemi invisible guette dans l’ombre prêt à sévir.
Respecter ce silence ne serait-ce qu’en hommage à tous les personnels soignants qui luttent inlassablement pour sauver des vies et aussi hélas à la mémoire de toutes les personnes qui ont été arrachées à l’affection des leurs!
Reprendre la faux ce n’est pas non plus par manque de carburant, bien que notre minuscule réserve incite à économiser l’énergie car nous ne savons pas de quoi demain sera fait!
Dans mes archives d’outils dédiés au jardinage, j’avais gardé en réserve trois faux d’origines diverses dont deux d’origine familiale qui ont très peu servi, vous ne pouvez pas imaginer la peine que développe l’usage de tels outils, car en effet après quelques coups de faux, la fatigue commence rapidement à se faire sentir ! Il est probable que ce soit également dû à l’âge ou au manque d’expérience.
Et cependant comment alors nos anciens pouvaient tenir en de telles circonstances, il fallait avoir une force herculéenne, le machinisme des temps modernes a fait oublier au commun des mortels que nous sommes, combien nos prédécesseurs ont souffert dans leur chair, bien souvent dans des circonstances que nous ne pouvons imaginer.
Toutefois même si le machinisme des temps modernes à favorisé une avancée spectaculaire sur quantité de domaines, il s’avère qu’aujourd’hui les événements nous rappellent nos faiblesses et la fragilité de nos vies, combien de fois arrive-t-il que la nature soit mise à mal par telle ou telle pollution.
Aujourd’hui il semble que la nature se rappelle à nous, il suffit d’ouvrir grands les yeux, d’ humer ces senteurs enivrantes et de laisser libre cours à notre imagination tant qu’il est encore temps !
La faux est avant tout un symbole de vie car elle servait autrefois à récolter les céréales, le blé notamment qui est source de vie pour l’humanité entière, la faux représente également la mort, car en somme tout est lié. § Ref. / texte 49/3 sur le blé de Fabienne A.
Il semble que certaines innovations industrielles que nous prenions parfois pour des bienfaits, aient quelque peu occulté nos capacités à agir, vivre ou survivre en autosuffisance comme le faisaient autrefois nos anciens, alors désormais le temps présent sera peut être propice à remettre en question certaines de mes activités, ne serait ce que partiellement car l’être humain ne peut survivre et agir seul.
Rappelons nous le temps où les faucheurs travaillaient de concert en ordre décalé, afin que l’un ne blesse point l’autre, si l’un s’arrêtait pour battre sa faux, les autres faucheurs devaient en faire de même, c’est ainsi que le travail de groupe prenait toute son importance et l’ouvrage avançait d’autant plus vite.
Le temps s’écoule immuable, et avant que la nuit ne survienne, muni de la vielle faux de mes prédécesseurs je vais reprendre l’ouvrage inachevé si toutefois le temps le permet, tout en profitant du silence environnant.
Ce jourd’hui le 30 mars 2020 C Fred.
Pour finir le récit d’un confiné Faucheur ! lisez l’article sortie dans la Dépêche du midi du 10 mai ci-dessous.
Avril 2020
Si vous le voulez, l’univers peut commencer dans le jardin avec des globes…Euh, pardon ! Des bulbes porteurs d’étoiles : Iphéion uniflorum (liliacées/alliacées) ou Étoile des Incas, modeste plante originaire d’Argentine, à longue floraison colorée et abondante (mars) culture très facile, nombreux coloris. Petits bulbes blancs se multipliant rapidement pour former des touffes ou colonies compactes, hors floraison effet graphique des abondantes feuilles en lanières : rocailles, bordures, couvre-sol, talus. Plantation automne ou printemps en sol drainant, soleil et/ou ombre, rustique jusqu’à -20°c. Gros avantage des bulbes : une fois plantés, vous avez du spectacle pour des années.
Jacques
La nature se réveille
Installer un habitat aux abeilles maçonnes
Tous le mois de mars les premiers butineurs se réveillent. Ils cherchent un habitat . Ici des gongs de fenêtres laissés à l’abandon sur un rebord de fenêtre orienté Est
Le substrat idéal pour les semis et pour les rempotages
Pour lire la suite ouvrir le lien ci-dessous
Armand
ATELIER GREFFAGE
GREFFE DE PRINTEMPS
Greffe en incrustation et en couronne
La technique de l’incrustation nous a permis de greffer les portes greffes restants
2 poires Louise Bonne 1 Mirabelle 2 Pommes Gold Rush 2 pommes Akane 1 Reine des reinette 1 Abricot d’annick
Cet été nous avons greffé en écusson ou à œil dormant différentes variétés de fruitiers qui nous semblaient intéressantes de part leur résistance aux maladies ou leur ancienneté. voici la liste
- 1 Nectarine SNOWQUEEN
- 3 Pêchers AMSDEN (blanche et précoce)
- 3 Pêchers VISCOMPTE
- 1 Pêcher de vigne
- 5 Pêchers ROUSSANE DE MONEIN
- 1 Pêcher plate Saturne
- 1 Cerisier Aurignac
- 2 Cerisiers REVERCHON
- 5 Abricotiers
- 3 Pruniers DANTE noire)
- 2 Amandiers
- 3 Poiriers de la SAINT JEAN
- 4 pommiers reinette d’Angleterre
- 6 Pommiers Rémy Z
Il reste encore quelques arbres à greffer . Cette fois se sera à œil poussant donc la technique de l’incrustation et de couronne . Un atelier greffage a été réalisé.
il faudra encore attendre cet automne pour les planter dans vos jardins.
Vous pouvez réserver dès à présent vos arbres. En effet vous bénéficiez de 2 arbres gratuits par adhérent.
Le bureau de J.A.AL Jardiner Autrement en Ariège et Lèze